Mojca Jarc
Vers une approche
fonctionnelle de l'enseignment de la terminologie: Action recherche en
classe de Français
ABSTRACT
The purpose of the paper is to study different parameters
in terminology teaching within the framework of a French language
course offered at the Faculty of Social Sciences (FSS) in Ljubljana, in
order to better integrate the theoretical developments in the field of
descriptive terminology with the teaching practice of French for
specific purposes (FSP).
The results of an action research carried out
in a group of students of social sciences suggest that the theoretical
solutions applied for glossary compilation, and the use of
terminological record sheets to describe terms cannot be viewed as
automatically transferable into the classroom practice, and that
consequently, each classroom situation has direct implications for the
use of terminological record sheets in terminology teaching, which
calls for adapted solutions, based on the functional approach to
teaching foreign language for specific purposes.
RÉSUMÉ
L'article se propose
d'étudier les différents paramètres de
l'enseignement de la terminologie dans le cadre du cours de
Français langue étrangère à la
Faculté des Sciences Sociales de Ljubljana (FSS) afin de jeter
des ponts entre l’évolution de théorie dans le domaine de
la terminologie descriptive et la pratique de l’enseignement dans un
contexte du cours de français sur objectifs spécifiques
(FOS). Les résultats d’une action recherche menée au sein
d’un groupe d’étudiants en sciences sociales montrent que les
solutions théoriques pour la constitution de glossaires
thématiques ne sont pas automatiquement transposables dans la
pratique pédagogique et que des solutions adaptées,
axées sur une approche fonctionnelle s’imposent dans une classe
de langue étrangère.
© 2006
Scripta Manent. Slovensko društvo učiteljev tujega strokovnega jezika.
Introduction
Même si la notion est difficile è
définir (Gaudin : 2003), la terminologie est
généralement reconnue en tant que l'un des
éléments constitutifs de la langue de
spécialité, car elle permet l’identification et la
structuration d’une communauté discursive. Pour un professeur de
langue une question importante ressort face à de
nombreuses recherches théoriques dans le domaine de la
terminologie descriptive, à savoir : Comment faire le lien entre
ce savoir d'une part et la réalité de la pratique
pédagogique d'autre part afin d'introduire la notion d'analyse
terminologique dans une classe de langue? Les questions de ce
genre resurgissent probablement dans la préparation de chaque
cours de langue de spécialité. Partant de l'idée
qu'il faut trouver les réponses adaptées à des
situations concrètes et au contexte local nous avons retenu la
méthode de recherche active, car cette approche permet de mieux
définir le cadre général de l’action et d'avancer
vers une solution possible.
Le contexte local
Afin de mieux connaître les enjeux de la situation
particulière on doit donc examiner de plus près les
éléments qui façonnent le cursus et l'enseignement
à la FSS. Deux logiques s'enchaînent ici: la logique de
l'enseignement du français de spécialité pour un
public des étudiants en voie de spécialisation
(études du 2e cycle) et la logique de l'enseignement basé
sur la théorie socioconstructiviste.
Le français sur objectifs
spécifiques
Les langues étrangères sont
considérées comme un atout important pour les futurs
diplômés de la FSS de Ljubljana. Le français est
l'une des six langues étrangères offertes par la
faculté. Le cours de français s'adresse aux
étudiants, qui souhaitent approfondir leurs connaissances de
langue générale avec les éléments de la
langue de spécialité. La nature de ce cours s'explique
par un besoin d'intégrer l'apprentissage de langues
étrangères dans le cursus général des
apprenants ainsi que par leurs objectifs professionnels et les
exigences du marché de travail, ce qui présuppose une
analyse préliminaire des besoins des apprenants en fonction de
leur profil, à savoir : leurs compétences
langagières, niveau de connaissances spécialisées,
motivations, projets d’études et objectifs personnels. Les
résultats de cette analyse permettent d'identifier une
difficulté fondamentale, notamment une forte
hétérogénéité du groupe en ce qui
concerne tous les paramètres mentionnés.
L’approche pédagogique
adoptée
Deux facteurs ont fortement influencé notre décision sur
l’approche pédagogique pour le cours du français :
l’intégration et le transfert des apprentissages des »matières
de base« dans
l’enseignement
de la langue étrangère. Selon Guilbert & Ouellet
(2004 : 14) ces deux exigences se trouvent parmi les principes
directeurs de l’approche socioconstructiviste. Le questionnement sur le
choix des méthodes était donc naturellement dirigé
vers l’étude de cas et l’apprentissage par problèmes
(APP). Ces méthodes sont marquées par une forte
composante pédocentrée et sociocentrée.
L'enseignement de la
terminologie dans un programme du cours de français
S’il est généralement admis que la terminologie est une
clé de voûte de la langue de spécialité, les
moyens d’intégration du lexique spécialisé dans
une classe de FOS sont moins clairement définis. Les
débuts du FOS étaient fortement marqués par
l'exploration des listes de terminologie, même si les critiques
de cette approche se faisaient entendre. Dans les années 1990
Sophie Moirand avertissait contre le réductionnisme simpliste
des contenus »en termes d'unités minimales de
communication et de signification« (citée dans
Sagnier : 2004). Graduellement l’évolution de la discipline
a montré des tendances vers une autonomie augmentée de
l’apprenant. C’est dans cette optique que Odile Challe (2002) propose
un cadre d’apprentissage adapté à l’apprenant
spécialiste en passant en revue les différentes
possibilités d’aborder la langue, y compris l’approche
terminologique. Selon elle, cette approche permet de perfectionner les
compétences linguistiques de l’apprenant en utilisant les
méthodes de l’analyse sémantique. De même,
Christine Sagnier (2004) préconise la pédagogie de projet
dans le français des affaires sans pour autant préciser
quelle est la place du lexique de spécialité dans cette
approche.
Suivant les choix méthodologiques opérés pour
notre cours de français, nous avons décidé
d’intégrer l'enseignement de la terminologie dans le cycle APP.
Or il s’est révélé au terme du cycle que les
résultats du travail à visée terminologique
n’étaient pas toujours satisfaisants.
A partir de ce constat on s'est fixé deux objectifs:
premièrement recentrer l'enseignement de terminologie dans le
cours de FOS, deuxièmement introduire une méthode
pédocentrée de l'apprentissage de terminologie au sein de
notre cours.
Méthode de recherche
La méthode d'action recherche (AR) semblait
particulièrement appropriée à la situation
d'enseignement à la FSS. Le choix de la méthode de
recherche a été motivé par le contexte particulier
de l’enseignement. Selon Pike (2002) l'AR est une méthode qui
redéfinit l'opposition entre le sujet le l'objet. Le chercheur
étant le sujet ainsi que l'objet de la recherche, il crée
constamment un lien entre la théorie et la pratique. Cette
approche part de la situation réelle pour aboutir à des
conclusions généralisables. Elle est souvent
associée au changement social en général (Curry
2005) et à l'enseignement en particulier (Altricher et. Al,
1993. p. 201). Dans le cas étudié elle implique
l'intégration de l'enseignant en tant que chercheur et
professionnel et des étudiants en tant que communauté
recherchée, voire l'élimination de distinction entre
l'enseignant de langue et l'apprenant.
La recherche passe par plusieurs étapes fondamentales, notamment
l'observation et la description de la situation-problème,
l'analyse, l'évaluation et interprétation de la
situation, et la proposition des solutions au problème. La
finalité de cette démarche est donc de déceler les
raisons des problèmes rencontrées par les utilisateurs et
d’apporter des réponses à ces problèmes.
Déroulement
Observation et description
Au début de la recherche il convient de décrire
brièvement le contexte de notre situation-problème. Dans
notre cours de français, l'enseignement de la terminologie fait
partie du cycle APP (pour un parcours typique APP voir Tableau 1). La
question de la terminologie intervient tout au long de ce cycle, mais
elle devient particulièrement pertinente au moment de la
préparation d’un rapport écrit, dans lequel les
étudiants présentent les solutions au problème
abordé.

Tableau 1 : L’intégration des activités
terminologiques dans un parcours APP typique
L’une des tâches au sein du projet APP consiste à
constituer une ébauche de quelques fiches terminologiques
rédigées à la base des textes utilisés lors
de la préparation du projet. Ces fiches figurent en annexe du
rapport.
Pour initier les étudiants aux techniques de la
préparation et de la présentation du projet plusieurs
ateliers sont intégrés dans ce cycle, dont un atelier
titré Comment remplir une
fiche terminologique? L’objectif
de cet atelier est de sensibiliser les étudiants à
l’observation et à la description de la terminologie.
L’activité de l’atelier est divisée en plusieurs phases.
L’atelier s’ouvre par une phase de conceptualisation permettant
l’identification de la terminologie. Dans cette optique il faut tout
d'abord introduire la notion de l'unité terminologique.
L’unité terminologique est ensuite comparée à
l’unité lexicale.
La deuxième phase vise l’observation et l’analyse. Afin de
permettre l'exploration des champs terminologiques on a choisi de
proposer aux étudiants les outils permettant la description de
la terminologie. Depuis les années 1980 de nombreux
modèles de fiche terminologique ont été
proposés. Notre fiche terminologique est une adaptation de
fiches élaborées par CTN (Lerat : 1988) et par
Bowker & Pearson (2002 : 143).
FICHE TERMINOLOGIQUE-
LÉGENDE
FRA: vedette en français
GRA classe grammaticale
DOM: domaine de la notion
SDO: sous-domaine de la notion
DOA: domaine d’application
DEF: définition (de dictionnaire: 1 phrase)
CON: contexte, attestation d’emploi (copier la phrase, dans laquelle le
terme est employé)
SOU: source (du terme, de la définition, du contexte)
SYN: synonyme
SLO: équivalent slovène
NOT: note (renseignement de type encyclopédique)
COM: combinaison syntaxique, collocation
SOR: sorte de (terme générique)
PAR: partie de (élément, composant de...)
ARG: argument (object(s) connexe (s))
RED: rédacteur de la fiche
MAJ: date de la dernière mise à jour
|
Tableau
2: Format de
fiche terminologique
L’activité de l’atelier se termine par une synthèse, au
cours de laquelle les principes de rédaction de fiche
terminologique sont généralisés.
Les étudiants peuvent ensuite procéder à la phase
du travail autonome, notamment l'analyse de la terminologie au sein du
projet APP choisi. Dans ce travail les étudiants font
référence à leurs connaissances conceptuelles. Par
ailleurs, ils utilisent des dictionnaires et des encyclopédies
spécialisées, des banques terminologiques et
procèdent au dépouillement des textes utilisés
pour la préparation du rapport final. Il s’agit d’un travail en
équipe, qui est réalisé en dehors de la classe.
L’analyse des résultats de ce travail a montré que:
- selon les étudiants les
fiches terminologiques figuraient
parmi les parties les plus difficiles du projet;
- les étudiants avaient du
mal à identifier les
termes;
- les résultats du travail
terminologique n’étaient pas
toujours satisfaisants.
Se pose donc la question suivante: Comment améliorer la
pratique existante de l'enseignement de la terminologie?
Pour répondre à ce défi nous tentions en premier
lieu de repérer les difficultés méthodologiques et
conceptuelles de la démarche pédagogique, et en
deuxième lieu d’adapter l’action pédagogique aux besoins
des étudiants.
Analyse, évaluation et
interprétation de la situation
Afin d'approfondir notre compréhension du contexte
et de l'ampleur du problème, et pour identifier également
les autres facteurs qui peuvent être impliqués, un
questionnaire a été développé à la
base des questions relatives à la fiche terminologique
existante. Les questions étaient formulées d'une
manière collaborative par l'enseignant les apprenants.
FICHE TERMINOLOGIQUE
– QUESTIONNAIRE
Evaluez vos réponses en donnant des cotes de 1 (non) à 5
(oui).
|
1. Est-ce que la
tâche est perçue comme pertinente par les
étudiants?
2. Pourquoi?
3. Est-ce que la tâche est difficile?
4. Est-ce que les instructions sont compréhensibles?
5. Est-ce que les instructions sont trop complexes?
6. Combien de connaissances préliminaires sont
nécessaires pour l’accomplissement de la tâche?
7. Est-ce que les connaissances linguistiques des apprenants sont
suffisantes pour l’accomplissement de la tâche?
8. Est-ce que les connaissances conceptuelles des apprenants sont
suffisantes pour l’accomplissement de la tâche?
9. Est-ce que les apprenants peuvent consulter d’autres sources pour
l’accomplissement de la tâche? Lesquelles? Est-ce que les
apprenants
connaissent ces sources?
10. Est-ce que les apprenants utilisent l’aide de l’enseignant?
11. Combien de temps vous avez dédié à cette
tâche?
12. Quels sont les avantages /désavantages de ce type de
travail?
13. Quels sont les changements principaux qu'il faudrait opérer
pour optimiser l'apprentissage de la terminologie?
14. Quelles sont vos suggestions pour les changements
spécifiques du formulaire?
|
Tableau 3: Questionnaire
Les questions ont ensuite été regroupées afin de
permettre une meilleure analyse.
Les questions visaient à traiter les paramètres
suivants : le contexte général, la nature de la
tâche, le niveau de connaissances linguistiques des apprenants,
le niveau de connaissances conceptuelles des apprenants, le rôle
de l’enseignant et les suggestions pour les changements.
L'analyse des questionnaires a démontré plusieurs failles
dans l’intégration de l’analyse terminologique dans le cycle APP
ainsi que dans la conception de certaines activités.
Premièrement, le contexte de la tâche de description
terminologique devrait être mieux défini, notamment en ce
qui concerne les objectifs pédagogiques, les habiletés,
les connaissances, les attitudes et le mode d’évaluation.
Deuxièmement, la tâche n’était pas adaptée
aux compétences linguistiques et conceptuelles divergentes des
apprenants, ce qui entraînait une sorte de confusion en ce qui
concerne les résultats escomptés. En principe tous les
étudiants reconnaissaient que l’analyse terminologique
était utile, mais ils n’étaient pas d’accord sur sa
portée dans l’apprentissage de la langue de
spécialité. L’activité descriptive n’était
pas toujours perçue comme pertinente par les étudiants,
car elle demandait trop de travail sur les détails que les
étudiants ne comprenaient pas toujours. Par conséquent,
les étudiants se plaignaient aussi de la complexité de la
fiche terminologique et des instructions pour le travail
terminologique. Les étudiants ayant un niveau de langue
relativement avancé étaient plus motivés par ce
genre de travail, alors que les étudiants ayant un niveau plus
faible montraient moins d’intérêt pour la tâche.
Même les apprenants dont le niveau de compétences
linguistiques était relativement élevée
considéraient qu’ils ne possédaient pas toujours les
connaissances conceptuelles suffisantes pour accomplir la tâche.
Troisièmement, en ce qui concerne le rôle de l’enseignant,
la majorité des étudiants ont reconnu avoir trop rarement
consulté l’enseignant pendant la rédaction des fiches
terminologiques.
Enfin, les étudiants n’ont pas proposé de changements
explicites relatifs au processus de l’apprentissage de la terminologie.
Par contre, une simplification radicale du formulaire a
été souhaitée par la quasi-totalité des
répondants.
Les résultats de cette analyse ont été
présentés aux étudiants. Après la
présentation, une discussion a été
organisée, dans laquelle un consensus a été acquis
sur une révision générale de l’approche en ce qui
concerne la présentation et le traitement de la documentation
terminologique aussi bien que les critères d’évaluation
du produit finale (i.e. la fiche terminologique).
Proposition des solutions au
problème
Face à ces résultats un certain nombre de changements
s’imposait en vue d’améliorer le niveau de connaissances
acquises par l’exercice de la description terminologique. Ces
changements passent par les étapes suivantes:
- La redéfinition des
objectifs de l’analyse
terminologique;
- Le repositionnement de
l’activité de description
terminologique dans le programme du cours afin de mieux initier les
apprenants à l’analyse;
- La diversification des
tâches en fonction des connaissances
linguistiques et conceptuelles des étudiants;
- Le renforcement de la
coopération entre l’enseignant et les
étudiants au cours de l’accomplissement de la tâche;
- La simplification de la fiche
terminologique;
- La promotion du partage des
résultats du travail
terminologique effectué dans le groupe;
- L’introduction des protocoles
visant la description du
déroulement de l’activité terminologique;
- L’introduction de
l’auto-évaluation.
Résultats
Ces réorientations ont apporté deux
éléments significatifs qui ont contribué à
un changement de l’attitude des apprenants envers la terminologie,
notamment la responsabilisation des apprenants et l’amélioration
de la discussion.
Responsabilisation
augmentée des étudiants pour le principe organisationnel
appliqué dans la description de la terminologie
Le processus en soi s'est révélé valorisant pour
tous les participants. Le dialogue qui s'installe dans cette approche
permet une réflexion critique, une discussion sur les
différents aspects de la terminologie, la mise en commun des
connaissances, d'expériences et de compétences dont la
portée dépasse largement le concept de l'enseignement
traditionnel de langues étrangères. Les étudiants
ont collaboré pleinement dans la recherche du modèle
convenable, car ils se sentaient responsables pour le résultat
final.
Amélioration de la
discussion sur la terminologie
Le processus mène vers l’évolution des
compétences importantes dans la vie professionnelle des
apprenants, à savoir l’intégration et le transfert des
apprentissages et le développement des habiletés
interpersonnelles. Il vise par ailleurs à développer les
habiletés procédurales et stratégiques. La
qualité de la discussion sur la terminologie a été
accrue. Les étudiants ont témoigné de
l’intérêt surtout dans le domaine de la recherche des
définitions des termes.
Or ce principe organisationnel n’est pas une panacée, car il
comporte quelques limites importantes. Premièrement, il semble
que le changement d’approche ne peut pas exercer une influence positive
sur la motivation de tous les étudiants. Malgré les
efforts de l’enseignant certains étudiants n’ont pas
témoigné beaucoup d’intérêt pour la question
traitée. Ensuite, on peut se poser aussi la question sur
l’économie d’une telle démarche dans une situation de
classe confrontée à de sérieuses contraintes de
temps. Enfin, la complexité de la tâche s’est
révélée trop grande pour les apprenants ayant un
niveau de langue relativement faible.
Les questions principales qui se dégagent des résultats
de cette recherche sont:
-
Quels sont les lacunes linguistiques et conceptuels les plus
caractéristiques des apprenants?
- Comment apporter des solutions
individualisées pour le
traitement de la terminologie en fonction des niveaux de langue
différents des participants?
Enfin, les résultats de notre recherche laissent supposer que
pour nos étudiants le travail sur la terminologie devrait
largement être complété par le travail sur le
vocabulaire général.
Conclusion
Etant donné que l'AR est typiquement un processus cyclique ou
spirale, qui aboutit par définition à une nouvelle action
suivie d'une réflexion, notre travail futur portera sur
l'amélioration des connaissances sur les principes d'acquisition
et de maîtrise de la terminologie, ce qui devrait mener vers un
raffinement des méthodes d'apprentissage de la terminologie dans
la langue étrangère.
Bibliographie
Altricher, H., Posch, P.
& Somekh B. (1993) Teachers
Investigate their Work. An
introduction to the Methods of Action Research. London:
Routledge.
Bowker, L., and Pearson,
J. (2002) Working with
Specialised Language. A
practical guide to using corpora. London : Routledge.
Challe, O., (2002) Enseigner le
français de spécialité. Paris :
Economica.
Curry, A. (2005) L'action recherche
en action : l'implication des étudiants et des professionnels,
(online). Available:
http://www.ifla.org/IV/ifla71/papers/046f_trans-Curry.pdf (24.2.2006).
Gaudin, F. (2003) Socioterminologie.
Une approche sociolinguistique de la terminologie.
Bruxelles : De Boeck. Duculot.
Guilbert, L. and Ouellet L.
(2004) Etude
de cas. Apprentissage par problèmes. Le Delta I :
Presses de l’Univeristé de Quebec.
Lerat, P. (1988)
Terminologie et sémantique descriptive. La Banque des mots (numéro
spécial), 11-38.
Pike, M.A. (2002) Action
research for English Teaching. Educational Action
Research,
10 (1), 27-44.
_____
© The
Author 2006. Published by SDUTSJ. All rights reserved.
|
 |
Scripta Manent 2(1)
Contents
» S.
Laviosa and V. Cleverton
Learning
by Translating: A Contrastive Methodology for ESP Learning and
Translation
» M. Jarc
Vers
une approche fonctionnelle de l'enseignment de la terminologie: Action
recherche en classe de Français
» V. Jurković
Vocabulary Learning Strategies in an ESP Context
Other Volumes
» Volume 3/1
» Volume 2/2
» Volume 1/1
|